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Chaque ARTESANO est l’histoire d’une légende vivante

 

L’histoire des guitares Artesano est indissociablement liée à la vie du luthier espagnol Juan Orozco. Plus précisément, de Juan Orozco III car son grand-père fabriquait déjà d’excellentes guitares dans son Espagne natale, berceau de la guitare classique. Le parcours de Juan Orozco se lit comme le bottin mondain de la scène de la guitare classique et flamenca. Après ses premières séries, Don Juan, comme ses amis l’appellent respectueusement, continue à écrire l’histoire avec les nouvelles guitares Artesano.

 

Chronologie d'un luthier Globetrotter...

 

1937
Les débuts en Espagne
Juan Orozco enfant avec ses parents à Granada. A droite: sa sœur Amalia
Juan Orozco est né en 1937 à Valencia, un des plus grands centres de la facture de guitares en Espagne. Son père est déjà un facteur de guitare renommé, très lié avec d’autres luthiers célèbres. Pour ceux-ci comme pour de nombreux musiciens de renom, la maison de la famille Orozco devient un point de rencontre privilégié à Madrid, un autre centre de la corporation où la famille s’installe en 1944.
Dès sa plus tendre enfance, Juan Orozco III apprend le métier auprès de son père qui lui dévoile ce qu’il tient lui-même de son père: l’art suprême de la facture de guitares.

 

1948
«Les ‘Indios’ leur promettent des affaires en or».
A la fin des années quarante, le père de Juan Orozco assiste en Espagne au concert d’un duo de guitaristes brésiliens encore peu connus afin de leur présenter ses guitares. Ils lui parlent de leur pays ainsi que des opportunités qu’il doit offrir à un facteur de guitares. Ils sont visiblement impressionnés par la qualité des instruments présentés, bien supérieure à celle de leurs propres instruments, fabriqués en Amérique du sud. En 1949, son frère, l’oncle de Juan Orozco, est le premier à partir et quitte la France pour l’Amérique du sud.

 

1950
São Paulo
1952, Juan Orozco spielte bei einem Auftritt mit seinem TrioEn 1950, le père de Juan Orozco et sa famille le suivent au Brésil. Le jeune Juan passe donc quelques années à São Paulo.

1956
Montevideo
En 1956, la famille Orozco s’installe en Uruguay, un pays que le père avait traversé lors d’un voyage en Argentine et qui lui avait beaucoup plu.
Juan étudie l’architecture dans la capitale, Montevideo. Il ne veut pas suivre les traces de son père et ne construit aucune guitare durant cette période. Son père, par contre, y a son atelier et est à l’époque le seul facteur de guitare en Uruguay. Les musiciens sud-américains n’avaient donc pas exagéré quand ils exaltaient les opportunités qui s’offraient à un facteur de guitare dans leur pays.

 

1960
Son premier atelier
A 23 ans, Juan Orozco revient à ses racines et arrête l’architecture. En 1960, il s’associe au propriétaire du plus grand magasin d’instruments de musique de Montevideo et crée sa propre entreprise. Son premier atelier est relativement petit et ne compte que quelques collaborateurs.

 

1962
Trío Los Panchos
Avec le trio «Los Panchos», Juan Orozco passe en 1962 trois semaines à New York pour y proposer ses guitares. Les trois musiciens jouent sur des guitares que le père d’Orozco leur avait fabriquées des années auparavant.

Les guitares qu’Orozco présente à New York coûtent à l’époque 35 dollars pièce. Pour impressionner un client potentiel, il lui propose 50 guitares. Ce dernier prie Orozco de cesser de plaisanter et de revenir le voir quand il pourrait lui en proposer 1.000. Très heureux de ses affaires, le jeune luthier repart en Uruguay avec des carnets de commandes pleins.

Alors qu’il vend toujours plus de guitares aux Etats-Unis, la situation économique se dégrade en Uruguay et le cours du dollar devient de plus en plus défavorable. Quelqu’un finit par demander à Orozco pourquoi il ne s’installerait pas à New York.

 

1964
New York
Juan Orozco enfant avec ses parents à Madrid. A droite: sa sœur Amalia
Juan Orozco dans son atelier avec Erundi, du duo «Los Indios Tabajaras»
En 1963, à 27 ans, Juan Orozco quitte l’Uruguay et s’installe à New York City. Entre octobre et février de l’année suivante, il travaille comme facteur de guitare pour le magasin de musique de Noah Wolf dans la 48e rue; cette artère compte encore aujourd’hui de nombreux grands magasins d’instruments de musique, dont le fameux Sam-Ash.
A cette époque, Juan Orozco fabrique les guitares du plus célèbre duo de guitaristes, «Los Indios Tabajaras». 

Les musiciens ont d’ailleurs tissé des liens personnels très forts avec Juan Orozco: l’un des deux, Musa Pere, est même le parrain de la fille d’Orozco.

 

1965
A nouveau indépendant grâce aux Indios Tabajaras
Ils jouaient sur des guitares Juan Orozco et ont vendu des millions d’albums: «Los Indios Tabajaras»
Ils jouaient sur des guitares Juan Orozco et ont vendu des millions d’albums: «Los Indios Tabajaras»
Los Indios Tabajaras enregistrent leur album «Casualy Classic» avec des guitares fabriquées par Juan Orozco.
En 1965, avec les 1600 dollars qu’il touche pour ses guitares, Orozco ouvre à nouveau son propre atelier dans la 48e rue, au numéro 156 (où il restera jusqu’en 1970). Il lui apparaît vite que la réparation d’instruments est nettement plus rentable que la facture de nouvelles guitares. Orozco se lance donc dans le commerce de guitares classiques et de flamenco d’excellente qualité. Cela ne l’empêche pas de continuer à fabriquer des guitares à la main pour une clientèle sélectionnée.

 

 

1968
Cordes Aranjuez
Utilisant le nom Aranjuez, Juan Orozco propose pour la première fois en 1968 d’excellentes cordes pour guitares classiques et de flamenco. Comment en est-il arrivé là?
A la fin des années soixante, New York est un véritable creuset de cultures. Rien d’étonnant dès lors que, outre Orozco, d’autres facteurs d’instruments d’Espagne et d’Italie soient venus y tenter leur chance. Parmi eux, se trouvent des fabricants de cordes comme D’Addario et Augustine ainsi que des facteurs de guitares jazz comme D’Angelico et D’Aquisto.
L’atelier d’Orozco attire à l’époque le gratin du monde de la guitare: tout le monde se connaît et les échanges vont bon train. Quand Orozco découvre le mode de production de cordes et les points de vue de ses co-immigrants en matière de son, il n’est guère impressionné et décide de fabriquer lui-même ses propres cordes. C’est ainsi que les fameuses cordes Aranjuez, «The Strings of the Masters» voient le jour.

Séries de concerts – Masterclass


En 1968, Orozco lance en plus une série de concerts pour guitare classique et flamenco sous les appellations «New Talents in Concert» et «Juan Orozco presents…». Dans ce cadre, il attire les plus grands guitaristes et représentants de «son» genre pour des concerts à New York.
Cette même année sortent les dernières guitares fabriquées intégralement de la main de Juan Orozco.

 

1969
Japon
Les premières guitares de la firme japonaise Aria arrivent aux Etats-Unis. Orozco est à ce point séduit par la qualité des instruments qu’il réserve un voyage au Japon afin d’y acheter des guitares pour son magasin. Trois jours avant son départ, un client entre dans son magasin et demande de nouvelles cordes pour sa guitare. La guitare vient également du Japon et l’étiquette porte le nom «Kohno». Orozco est à nouveau impressionné par la qualité de la guitare. Il note donc l’adresse figurant sur l’étiquette.
Sans parler un mot de japonais, Orozco frappe quelques jours plus tard à la porte de Kohno. Ils nouent des liens d’amitié et Kohno décide d’équiper ses guitares de cordes Aranjuez; il distribue également ces cordes au Japon. Orozco échange un précieux savoir-faire avec Kohno, ce qui mènera à l’élaboration des meilleures guitares classiques de l’époque. 
Durant sa visite au Japon, Orozco participe à une expérience intéressante: une comparaison à l’aveugle entre 15 guitares, dont des instruments de Fleta, Hermann Hauser, José Ramirez et Kohno. Cette comparaison conforte Orozco dans l’idée de se lancer dans une collaboration avec ce dernier.

 

1970
La «Guitarreria» d’Orozco, le meilleur magasin d’instruments de New York
Les affaires marchent bien. Orozco doit renoncer à son atelier de la 48e rue et s’installe au n°156 de la 56e rue (jusqu’en 1979), derrière Carnegie Hall, à 40 mètres à peine du fameux hôtel Sheraton. Sa «Guitarreria» continue à jouir d’une excellente réputation. De nombreuses éditions d’un guide des meilleures adresses new-yorkaises (restaurants, hôtels, musées principaux, bars les plus intéressants etc.) décrit la Guitarreria de Juan Orozco comme le meilleur magasin de musique de la ville.

Harry Belafonte, un visiteur assidu
Harry Belafonte, dont le bureau est situé au coin, dans la 57e rue, se rend souvent à l’atelier d’Orozco. Même la légende de la boxe, Muhammad Ali, lui a rendu visite.

Cordes Aranjuez dans plus de 70 pays – Boosey devient distributeur européen


En 1970, deux ans après la présentation des cordes Aranjuez, Juan Orozco les vend dans plus de 70 pays à travers le monde. Tout indique que, lors de la conception des cordes Aranjuez, il a fait des choix judicieux. Ses liens étroits avec les meilleurs guitaristes du monde ne sont certainement pas étrangers à son succès. Il connaît bien les besoins des professionnels et la qualité des cordes Aranjuez répond parfaitement à leurs attentes. La fameuse société d’édition anglaise Boosey & Hawkes devient distributrice exclusive des cordes Aranjuez en Europe (jusqu’en 1982).

 

1972
Yepes, Bitetti et d’autres concerts de maîtres
Extraits de journaux de 1972
Extraits de journaux de 1972
Les séries de concerts «Juan Orozco Presents» et «Presented by Aranjuez Strings» sont à leur apogée en 1972. Orozco fait appel aux meilleurs représentants du genre dans des salles aussi prestigieuses que Carnegie Hall. Ces concerts se donnent souvent à guichet fermé.

Outre Narciso Yepes et Ernesto Bitetti, il invite cette année Rordrigo de Zayas (luth) avec Anne Perret (mezzo soprano), Manolo Sanlucar avec Enrique Morente (chanteur flamenco), Jorge Morel et Victor Monge «Serranito». Ce dernier joue trois soirs d’affilée.

 

1973
Zabaleta, Montoya etc.
Les séries de concerts se poursuivent: en 1973 et au cours des années qui suivent, les artistes suivants participent aux séries de concerts d’Orozco et donnent ensuite souvent des master classes dans les locaux d’Orozco à New York: Nicanor Zabaleta, Rey de la Torre, Rordrigo de Zayas (luth) avec Anne Perret (mezzo soprano), la légende du flamenco, Carlos Montoya.

 

1976
Mass Hirade
Au cours d’un voyage au Japon en 1976, le facteur de guitare espagnol rencontre Mass Hirade qui, depuis quelques années, met son immense savoir-faire en matière de guitare au service de la célèbre marque Takamine. Orozco achète les machines et l’outillage original qu’utilise Hirade pour fabriquer ses fameuses guitares classiques. Ceux-ci sont encore et toujours en possession de Juan Orozco qui, depuis, s’est installé à Puerto Rico. Juan Orozco presents: Jorge Cafrune! Le chanteur de folklore argentin, dont la vie passionnante a fait l’objet de cinq films, se produit au Alice Tully Hall du Lincoln Center à New York. Comme toujours, la vente des billets se fait à la Guitarreria d’Orozco.
En février 1978, Cafrune décède dans un accident de voiture. Orozco avait prévu un concert supplémentaire avec cet artiste exceptionnel en avril dans le Town Hall.

 

1977
Guitares Orozco – Précurseurs des guitares Artesano actuelles
Extrait du catalogue Orozco de 1979
Dans les années 1977~1981, Orozco, qui dispose désormais de son propre bureau à Tokyo, fait fabriquer des guitares au Japon selon des instructions précises et se charge ensuite de la finition dans son propre atelier. L’atelier fabriquant ces guitares de base appartient à Hoshino Gakki, le fondateur de Tama Drums. Chaque mois, quelques 120~130 guitares de grande qualité y sont produites parmi lesquelles Juan Orozco en sélectionne 75. C’est au cours de cette période que ses plus célèbres modèles voient le jour, sous les numéros 8, 10 et 15.

Les autres modèles de la production sont destinés à Kohno et Sakurai. Les guitares Orozco de cette période sont devenues des pièces de collection extrêmement recherchées. En 1980, le modèle 8 coûtait environ 280 dollars, le modèle 10 ±450 dollars et le modèle haut de gamme 15 avec un dos et des éclisses en palissandre de Rio atteignait 500~600 dollars. A l’heure actuelle, ces instruments peuvent valoir jusqu’à dix fois plus, en fonction de leur état. Die 

Au début, Orozco utilise un profil de tête dans le style de Fleta mais il le personnalise ensuite avec le fameux motif de diamant qui est à nouveau utilisé sur les guitares Artesano. Les instruments de cette époque sont également caractérisés par la forme conique de la partie centrale du chevalet ainsi que par les incrustations particulières de la rosace.

Los Romeros
En plus de Manuel Barrueco, Manolo Sanlucar et de bien d’autres maîtres de la guitare classique, Juan Orozco invite pour la première fois en 1977, dans le cadre de sa fameuse série de concerts, Los Romeros, la «Royal Family of the Spanish Guitar» avec Celedonio Romero et ses trois fils Celin, Pepe et Angel. Extrait d’un journal de 1977 sur le concert de Los Romeros
Zeitungsausschnitt von 1977 über das Konzert der Los Romeros
Au Carnegie Recital Hall se produisent en outre Miguel Angel Girollet, Michael Dadap, Andres Batista et Dennis Koster

"New Talents of the Guitar"
Avec une série de concerts pour jeunes artistes, Orozco donne un important coup de pouce à «son» genre. En 1977, les artistes suivants se produiront au Carnegie Recital Hall dans le cadre des concerts d’Orozco «New Talents of the Guitar»: Ronald Radford, Derick Draper, John de Chiaro, Silas Antonio, Edgar Mönch, Vincent Fraioli et Carlos Lomas

Décoré par le roi
Pour son importante contribution à la diffusion de la culture espagnole, Juan Orozco se voit attribuer en 1977 la Croix d’Officier de l’Ordre du Mérite Civil par le roi d’Espagne Juan Carlos I.

 

1978
Autres séries de concerts
Chaque année, Juan Orozco invite des artistes connus pour ses séries de concerts. En 1978, il invite notamment le guitariste Eric Norman et la soprano Maria Luisa Rangel.  Juan Orozco avec Andres SegoviaJuan Orozco avec Salvadore Dali

 

1979
Sa propre salle de concert, master classes
Publicité de 1979, «Déménagement à Soho»
Orozco doit à nouveau déménager pour adapter ses locaux à ses activités. En 1979, il s’installe à Soho, au 14e étage de l’immeuble 151 sur la 6ème Avenue, l’«Avenue of the Americans». C’est un bâtiment superbe au coin de Spring Street dans lequel il dispose de 150 mètres carrés.
Il fonde le «National Guitar Institute» où 78 professeurs de guitare donneront des cours et où se tiendront également des master classes. La plupart des artistes, comme Narciso Yepes, qu’Orozco fait venir à New York pour des concerts donnent également des master classes.
Une petite salle permet de donner des concerts à proximité immédiate de l’atelier.
Les cordes Aranjuez sont désormais fabriquées dans ces nouveaux locaux.

Guitares Aranjuez
Suite à une erreur de livraison de guitares classiques provenant du Japon, Orozco se rend aux Pays-Bas en 1979 où les instruments sont temporairement entreposés. Il constate que 3500 guitares sont dotées d’une table d’harmonie en contreplaqué et non en bois massif. Comme il ne veut pas que ces guitares soient vendues sous son nom, il y appose une étiquette «Aranjuez» avant de les livrer au distributeur de cordes Aranjuez, Boosey & Hawkes. C’est la seule fois que des guitares Juan Orozco sortiront sous la marque «Aranjuez».

 

1982
La Guitarreria, Paris
En 1982, Orozco ouvre une filiale à Paris, un magasin spécialisé dans la guitare appelé «La Guitarreria». Ce magasin existe toujours.

Une fois de plus, Orozco présente les guitaristes mondialement connus Angel Romero et Narciso Yepes au cours de ses séries de concerts et organise des master classes pour eux.

 

1983
Paco de Lucia, Manuel Barrueco
Pepe Romero et Manuel Barrueco avec OrozcoPaco de Lucia en concert au Festival de musique d'Arles – avec le soutien des Aranjuez Strings. Orozco présente Manuel Barrueco à New York.

 

1984
Yepes et la harpe
Carnegie Hall: Narciso Yepes et Nicanor Zabaleta donnent pour la première fois un concert en duo: Yepes sur sa guitare 10 cordes favorite et Zabaleta sur harpe. Orozco organise en outre des concerts avec Carlos Barbosa-Lima et Pepe Romero.
«The Spanish Institute» d’Orozco et «The Manhattan Institute for the Guitar» (directeur: Narciso Yepes) présentent pour la première fois Don Witter.

 

1986
Les premières guitares Artesano
Suivant le même principe qu’auparavant avec les guitares japonaises, Orozco fait fabriquer des guitares en Espagne au cours des années 1986~1994 qu’il parachève dans son atelier. Ces instruments sont vendus sous l’appellation «Artesano». Cette gamme d’instruments est principalement destinée aux élèves, aux amateurs passionnés, aux semi-professionnels et aux professeurs de guitare.

 

1989
Puerto Rico
En 1989, Orozco transfère la production des cordes Aranjuez sur l’île américaine de Puerto Rico. Le mode de vie espagnol de l’endroit lui convient mieux. Les cordes sont encore et toujours fabriquées sur cette île des Caraïbes et le facteur de guitare y a élu domicile.

 

2000
Aranjuez Strings present: «The New Talent of Guitar»
Aranjuez Strings présente «The New Talent of Guitar» avec des artistes comme Francisco Roldan, Berta Rojas, Antigoni Goni et Franco Platino. Orozco a un talent fou pour dénicher des talents: dans le cadre de ses concerts Aranjuez, au Weill Recital Hall at Carnegie Hall, New York, il présente des artistes très prometteurs comme Francisco Roldan et Berta Rojas.

En 2001, il invite Antigoni Goni et Franco Platino.

 

2010
Artesano – Inspiración de Juan Orozco
A 73 ans, le facteur de guitare reprend du collier: sous l’intitulé «Artesano – Inspiracíon de Juan Orozco», il élabore une nouvelle série de guitares classiques qui ouvre un nouveau chapitre dans son histoire. La conception des instruments rappelle les plus célèbres Orozcos des années 1979~81. Certaines caractéristiques parmi les plus visibles comme le profil de la tête, la forme conique du chevalet et la rosace ont été reprises et se retrouvent sur toutes les nouvelles guitares Artesano.
Les instruments de la série Sonata constituent le cœur de la gamme Artesano.

ARTESANO – INSPIRACIÓN DE JUAN OROZCO – Une nouvelle génération de guitares classiques, destinées à toutes les générations d’amis de la guitare et à ceux qui souhaitent les rejoindre.

 

VIVA LA GUITARRA

LATINA GUITARES

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